M. Bendeddouche Badis, ex-directeur de l'Ecole Préparatoire en Sciences de la Vie et de la Nature (Alger), a été nommé directeur de l'Ecole Supérieure des Sciences Vétérinaires.
Nomination, suite.
Symposium International à Biskra (22-24 Novembre 2015)
Department of Nature and life sciences
University of Biskra, Algeria
e-mail : moussi.ah@univ-biskra.dz
ATBiotech-JIB2015 (Tunisie, 20-24 décembre 2015)


CIBA2015 - Oran (29 novembre-01 décembre 2015)
Nous avons le plaisir de vous faire parvenir le SECOND APPEL à communication du Colloque International de Biologie Appliquée « CIBA 2015 » organisé à l’initiative de la faculté des Sciences de la Nature et de la Vie de l’Université des Sciences et de la Technologie d’Oran-Mohamed BOUDIAF.
Les soumissions de résumés de communications sont ouvertes jusqu'au 15/09/2015. Le formulaire d'inscription ainsi que toutes les informations sur le colloque sont disponibles sur le site web du colloque :
Nous sommes heureux de vous inviter, au nom du comité scientifique et du comité d’organisation, à participer à cette manifestation scientifique qui sera, sans aucun doute, un vaste champ d’interactivités dynamiques et de réflexions profondes alimentées par vos diverses expériences.
Pour rappel, les trois thématiques principales retenues dans le cadre du "CIBA 2015" sont :
· Génétique (Humaine et Biodiversité des ressources Animales)
· Ecotoxicologie (Terrestre et Marine)
· Biotechnologie (Végétale et Microbienne)
Nous vous attendons nombreuses et nombreux pour partager des moments riches en échanges scientifiques et en convivialité dans notre accueillante et belle ville, Oran "el Bahia".
Vous trouverez toutes les informations sur le site web http://ciba1.webnode.fr/.

Pr. Amel ALIOUA-BERREBBAH
Présidente du "CIBA 2015"
Congrès International Eaux, Déchets et Environnement (Maroc, 24-26 novembre 2015)
Noureddine EL ALEM
Faculté des sciences
Département de chimie
Colloque internationale sur la valorisation des plantes aromatiques et médicinales (Blida, 11-12 novembre 2015)
Colloque international sur la valorisation des plantes aromatiques et médicinales de la méditerranée
(Blida, 11-12 novembre 2015)
Les Maîtres-assistants ne pourront plus assurer des cours magistraux ?
Les tâches qui attendent le nouveau ministre de l'enseignement supérieur.
Une contribution intéressante de notre collègue Ahmed ROUADJIA, professeur à l'Université de M'sila. Suivre le lien.
http://lequotidienalgerie.org/2015/07/22/les-taches-qui-attendent-le-nouveau-ministre-de-lenseignement-superieur-le-professeur-tahar-hadjar
En bonus, des révélations croustillantes !
Classement des universités africaines: absence de l'Algérie dans le top 30
COMPTE RENDU
Classement des universités africaines : la suprématie des anglophones

Le journal mensuel « Times Higher éducation » a présenté un classement des trente meilleurs établissements d’enseignement supérieur africains, lors d’un sommet des universités africaines qu’il organisait à Johannesbourg, les 30 et 31 juillet.
Parmi les surprises de ce « top 30 », l’absence d’universités prestigieuses telles que celle du Caire ou encore l’université Al-Azhar en Égypte mais aussi l’université nigériane d’Ibadan, et l’université du Nigeria.
À l’inverse, certaines universités moins connues ou moins renommées sont dans ce classement du mensuel spécialisé dans l’enseignement supérieur, comme par exemple l’université Cadi Ayyad (10e) au Maroc, Port Harcourt (6e) au Nigeria, ou encore l’université de Sfax (28e) en Tunisie.
Une seule université francophone dans les dix premières
Pas vraiment une surprise en revanche, la suprématie de l’Afrique anglophone sur l’Afrique francophone apparaît clairement à travers le classement. Les universités francophones ne sont que sept à y être représentées et neuf des dix premières sont anglophones, exception faite donc de l’université Cadi Ayyad, dixième.
L’Afrique du Sud rafle douze places, soit plus du tiers du classement alors que seuls, côté francophone, le Cameroun, la Tunisie et le Maroc voient les noms de certaines de leurs universités figurer dans ce « top 30 ».
Lire aussi : En Afrique, les enfants ont un meilleur accès à l’éducation
Le classement a été réaliséà partir d’une vaste base de données, alimentée par le « Times Higher éducation » qui s’est servi de son expertise dans le domaine des études supérieures. À cela s’ajoute Sciver Scopus, une base de données transdisciplinaire lancée par l’éditeur scientifique Elsevier en 2004, selon le site du journal.
Les résultats s’appuient essentiellement sur la quantité de citations des travaux d’universitaires dans les publications de chercheurs d’autres académies. La méthodologie employée mérite, selon les dires des auteurs du classement, d’être améliorée, notamment grâce à la collecte de plus de données sur les universités et à l’ajout de nouveaux indicateurs.
Dorian Cabrol, contributeur Le Monde Afrique
Décès d'une collègue de la faculté de physique de l'USTHB.
Ourida Chouaki, militante des droits de la femme, n’est plus

Présidente de l’association Tarwa n’Fadhma n’Soumer, Ourida Chouaki était « partie prenante de toutes les luttes démocratiques et féministes en Algérie », témoigne Cherifa Kheddar, présidente de l’association des victimes du terrorisme Djazaïrona.
Allah yerham'ha.
Membre du collectif constitué contre le code de la famille, « 20 ans, Barakat », Ourida Chouaki « était en train de préparer la marche mondiale des femmes contre la pauvreté et les inégalités qui aura lieu à Marseille et à laquelle une délégation de femmes algériennes devrait prendre part », ajoute-t-elle.
La défunte était enseignante de physique à l’université de Bab Ezzouar. Son frère, Salah Chouaki, inspecteur général de l’Éducation et cadre du mouvement Ettahadi (ex-PAGS), avait été assassiné par les terroristes dans les années 1990.
Bonne reprise et...bon courage.
Bonne reprise à toutes et à tous les collègues.
Nous voilà de retour. Nous espérons que vous avez passé de bonnes vacances et que vous avez bien rechargé vos batteries car cette année va être très éprouvante vu l'effectif des étudiants.
Comme chaque année, on nous sérine que la renrée universitaire se déroule dans de bonnes conditions, qu'il y a eu réception de tant de lits, la création de tant de places pédagogiques et le recrutement de tant d'enseignants. Mais, il faut rappeler une bonne fois pour toutes que "places pédagogiques" ne signifie pas "chaises et tables" !! Une place pédagogique, c'est tout l'accompagnement qui va avec: salles de TP avec matériel scientifique, moyens didactiques, enseignants compétents, bibliothèques, salles de travail, restauration, transport......
Et recruter des enseignants, c'est bien, mais qu'en est-il de leur formation ?
Allez, bonne année universitaire quand même.
Copinages et faux diplômes.
Le député et l'université algérienne
De nos amis du SESS:
Bien que rien de ce qu'il dit ne nous est méconnu, les propos de Tahar Missoum (député), denonçant la situation que vit le pays, suscitent l'intérêt des internautes algériens et ce à chaque fois.
Sa dernière intervention était en relation avec le secteur des Université et ça ne manque pas de piment.
Selon lui, l'Université ce n'est pas spécifique (secteur du commerce) c'est original.
Son style de communication sans appel pourra nous inspirer finalement...
Adoption du projet de loi d'orientation sur la recherche scientifique par l'APN
Les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté, jeudi, à la majorité le projet de loi d'orientation sur la recherche scientifique et le développement technologique, lors d'une séance plénière présidée par Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de l'APN en présence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar.
La loi d'orientation sur la recherche scientifique vise à"renforcer" le système législatif de la recherche scientifique en Algérie, a indiqué M. Hadjar à l'issue du vote de ce texte de loi, soulignant qu'"elle a aussi pour objectif l'intégration de la recherche scientifique dans le domaine économique et social à travers l'exploitation des résultats de la recherche pour le développement".
Elle prévoit également le transfert des résultats de la recherche et des connaissances vers le monde socio-économique après définition des thèmes des recherches scientifiques en fonction des besoins nationaux.
Le texte de loi qui comporte 60 articles, propose la mise en place de mécanismes pour désigner les programmes nationaux prioritaires de recherche. Tous les départements ministériels peuvent proposer les domaines et les volets de recherche jugés prioritaires à travers la mise en place de comités sectoriels.
M. Hadjar s'est dit "optimiste" quant à l'avenir de la recherche scientifique en Algérie s'appuyant sur les résultats des recherches réalisées dans plusieurs domaines, dont celles relatives à la fabrication d'un premier satellite algérien.
Le ministre a saisi cette occasion pour répondre aux préoccupations des députés concernant l'Université algérienne et l'Université de la formation continue (UFC). Il a démenti à ce propos les informations faisant état de sa fermeture tout en affirmant que le ministère œuvrait au contraire pour son "renforcement et sa modernisation".
A une question d'un journaliste sur l'éventuel octroi d'un deuxième billet d'avion au profit des étudiants du sud, M. Hadjar a souligné que le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'attellera à la concrétisation de cette mesure.
In El Moudjahid, 17 septembre 2015
Faut-il payer les universitaires algériens comme leurs homologues américains ?
Il faut les payer comme les Américains!
Que faire de l'intelligentsia algérienne? La question s'est posée et continue de se poser au regard du peu d'intérêt accordéà la science et à la recherche scientifique en Algérie. De fait, la recherche scientifique est tellement malmenée que des députés s'en sont émus, lundi dernier, à l'APN lors du débat sur le projet de loi sur la recherche scientifique et le développement technologique, regrettant que ce secteur soit aussi peu pris en charge. Il vaut mieux laisser le voile sur le budget que le gouvernement prévoit pour ce secteur - ôh combien - stratégique du pays. En parallèle, notons ce fait curieux qui voit un club dit «pro» réclamer un montant fabuleux de dinars à Sonatrach et fait payer, sur fonds de l'entreprise des salaires de 250 millions (de centimes par mois) ses footballeurs. Cela ne s'invente pas et pendant ce temps l'élite nationale prend le chemin de l'exil et fait le bonheur des centres de recherche et entreprises étrangères. Or, c'est dans ce contexte que l'on apprend qu'au début du mois d'octobre les premiers tests du premier drone supersonique algérien seront effectués à Tafraoui (Oran). En fait, c'est là une première africaine. Une heureuse surprise en vérité, d'autant plus que le secteur scientifique est laissé en friche en Algérie. Ce prototype est de conception à 100% algérienne. Notons qu'initialement, le projet devait se faire en coopération avec l'Afrique du Sud. Au final il est resté algérien. Faut-il préciser que ce projet a été rendu possible par la contribution de deux Algériens qui sont passés par l'Américain Boeing et l'Européen Airbus? La mise à contribution des compétences locales et émigrées a permis ce véritable exploit. Or, les deux maîtres d'oeuvre sont des ingénieurs formés dans les universités algériennes. Mais c'est à l'étranger que leurs aptitudes ont été reconnues. C'est là qu'il y a problème: des milliers d'universitaires algériens - une élite formée dans nos universités malgré les innombrables handicaps et manques dont celles-ci souffrent - sont contraints de partir à l'étranger pour faire valoir leur savoir et leur savoir-faire. Un savoir-faire que les autorités nationales ne prennent pas en compte se focalisant plutôt sur les compétences étrangères. La mise au point d'un drone pensé et réalisé par des Algériens met en exergue le gâchis, immense, induit par la sous-évaluation du secteur de la recherche scientifique et du développement technologique, comme de l'aptitude de nos diplômés à penser et à promouvoir une science «made in Algeria». En effet, pourquoi former au prix fort une élite scientifique pour ensuite la laisser en marge des réalisations du pays, pour en revanche faire appel aux compétences étrangères. Cela bien sûr, au détriment de l'Algérie et du développement de son secteur scientifique et technologique. Ainsi, cette intelligentsia, qui n'arrive pas à trouver sa place dans les structures du pays parvient sans problème à s'insérer dans les projets de croissance à l'étranger, En fait, ils sont plus de 4000 docteurs algériens établis aux Etats-Unis (chiffres datant de 2010 non actualisés) et travaillent aux States dans les domaines scientifique, technologique, médical et spatial. Enorme, lorsque l'on songe aux manques à gagner nets pour l'Algérie qui a investi de fortes sommes pour former à perte une élite qui renforce, c'est absurde, la recherche scientifique américaine, française et canadienne. C'est encore plus grave lorsque l'on sait que pour ses chantiers, ses universités, ses hôpitaux ou pour ses institutions, l'Algérie est contrainte d'engager, au prix fort, des «conseillers» et bureaux d'études étrangers, qui, souvent à l'usage, se révèlent de piètre qualité. L'Algérie est ainsi doublement pénalisée. Les déperditions de notre élite, qui auraient pu être évitées, perdurent depuis des décennies, prenant au fil des ans les allures d'une hémorragie fort dommageable pour le devenir même du pays. Pourtant, les dirigeants du pays semblent conscients de la problématique et de ses incidences négatives sur la qualité de la formation et surtout le comment retenir au pays notre élite universitaire. Ce qui fit dire au chef de l'Etat, ouvrant à Sétif l'année universitaire 2009/2010: «Si vous avez Einstein, vous ne pouvez pas le payer au même titre qu'un enseignant de l'université, c'est inconcevable. (...) Les cadres doivent être payés à leur juste valeur. Si un cadre vaut 1000 dollars aux Etats-Unis, il faut qu'on le paie 1000 dollars en Algérie et pas moins.» On sait donc en haut lieu où le bât blesse. En fait, ces propos résument le problème de fond quant à l'ignorance des compétences et leur marginalisation et, conséquemment, la fuite des milliers de cadres algériens qui font le bonheur des centres de recherche occidentaux. Et maintenant réfléchissons à cette étrange équation: un budget de la recherche scientifique indigent, une intelligentsia qui met ses compétences au service de l'étranger, alors que l'Etat consacre des milliards de dinars à un championnat «professionnel» bidon...
Note aux directeurs de laboratoires / unité de recherche
Dans le cadre de la mise en conformité des laboratoires et des unités de recherche agréés et dans la perspective d’une labellisation « DGRSDT », des experts effectueront un audit global de ces entités...
الجمهورية الجزائرية الدّيمقراطية الشّعبية
République Algérienne Démocratique et Populaire
Ministère de l’Enseignement Supérieur
et de la Recherche Scientifique
Direction Générale de la Recherche Scientifique
et du Développement Technologique
N° : ……..………….. /D.G.R.S.D.T/2015 Alger, le ………….…………
Note
Dans le cadre de la mise en conformité des laboratoires et des unités de recherche agréés et dans la perspective d’une labellisation « DGRSDT », des experts effectueront un audit global de ces entités. A partir du mois de Novembre 2015 la légitimité des laboratoires et des unités de recherche reposera sur des évaluations continues faites sur site.
Le laboratoire et l’unité de recherche doivent suivre la stratégie de l’établissement de rattachement en termes de priorités pour le rayonnement et le développement du savoir. Ils doivent contribuer au développement des connaissances et répondre aux attentes économiques régionales ou nationales.
L’identification de priorités s’avère une action nécessaire et capitale menée par l’ensemble des organes scientifiques de l’établissement.
Les laboratoires et les unités doivent :
- Soutenir la notoriété intellectuelle et professionnelle au sein de l’économie du savoir ;
- Harmoniser l’activité universitaire avec le développement économique de la région ou du pays ;
- Proposer des qualifications économiquement utiles et susceptibles d’intéresser l’entreprise ;
- Avoir une excellence académique dans un contexte professionnel ;
- Rechercher des financements externes ;
- Maintenir et améliorer sa visibilité et sa position à l’échelle nationale et internationale.
A cet effet, nous informons l’ensemble des directeurs de laboratoires / unités de recherche que l’évaluation et les visites d’experts débuteront le mois de Novembre 2015 selon un programme défini par la DGRSDT sur son site internet.
Cette évaluation portera sur les points suivants :
- Existence physique du laboratoire / unité (locaux, aménagements…etc.) ;
- Conformité avec les statuts de l’entité (nombre de chercheurs, nombre d’équipes…) ;
- La gouvernance du laboratoire ;
- Les grands axes de la politique de recherche au sein de l’entité ;
- Les projets de recherche et les bilans scientifiques ;
- Support à la formation doctorale ;
- La vie dans le laboratoire ;
- Interaction du laboratoire avec son environnement socio-économique.
Le Directeur Général
Appel à manifestation d'intérêt: Conception de ressources pédagogiques dans le domaine des TIC/E
Identification de prestataires (individus ou équipes) pour la conception de séquences pédagogiques, de modules d’apprentissage et de parcours de formation à destination du dispositif « TRANSFER »
Date limite pour la soumission de l’expression d’intérêt : 04 octobre 2015
Suivre le lien:
http://www.umc.edu.dz/cnfp/index.php/appels-d-offres-bourses/appels-d-offres-en-cours/date-limite-04-octobre-2015
Premier Séminaire International sur la Biodiversité et Gestion des Ressources Naturelles (Souk Ahras)
A vos plumes !
L'espace "contributions" réservé aux reflexions et analyses des collègues enseignants et/ou chercheurs.
Proposez vos écrits à l'adresse électronique suivante: campususthb@gmail.com
Saha Aidkoum...et une petite surprise !
A l'occasion de l'Aid el Kebir, nous vous souhaitons une bonne fête.
Saha aidkoum.
Un diaporama en relation avec l'Aid El Kebir. Juste pour rigoler.