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Channel: Espace-Forum des Enseignants-chercheurs algériens
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Nouvelles dispositions d'Air Algérie (Bagages)

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Cher(s) client(s)

Nous vous informons des nouvelles dispositions prises par la compagnie Air Algérie afin de s’adapter aux exigences de ses différents marchés et d’améliorer l’enregistrement et l’embarquement de ses passagers.

Bagages à main :

A compter du 01 janvier 2016, La compagnie vous autorise à transporter gratuitement un seul bagage en cabine d’un poids maximum de 10 KG (05 KG pour les types d’avion ATR). Si vous voyagez avec un ordinateur portable, un sac à main ou un appareil photo, veillez à ce que ces objets rentrent dans l’unique bagage cabine autorisé. Les dimensions de ce dernier ne doivent pas dépasser 35 cm de hauteur, 55 cm de longueur et 25 cm de largeur.

Bagages en soute :

Vos bagages transportés en soute doivent respecter les mesures suivantes : Dimensions : la somme des trois dimensions (Hauteur + Longueur + largeur) d’un bagage ne doit pas dépasser 158 cm. Poids : pour des raisons de manutention, un bagage ne doit en aucun cas dépasser les 30 KG. Il est fortement déconseillé d’inclure dans ses bagages des objets de valeurs, argent, documents importants, ordinateur, appareil photo…etc.

Programme Air Algérie Plus :

A partir du 01 février 2016 ;

Carte DJURDJURA : l’avantage franchise bagage supplémentaire offert à ce niveau sera de 05KG.

Carte CHELIA : l’avantage franchise bagage supplémentaire offert à ce niveau sera de 10KG.

Pour les destinations Montréal et Pékin, la pièce supplémentaire accordée ne doit pas dépasser les 23KG.

Carte TAHAT : l’avantage franchise bagage supplémentaire offert à ce niveau est maintenu à 20KG.

Pour les destinations Montréal et Pékin, la pièce supplémentaire accordée ne doit pas dépasser les 23KG.

Sur le Réseau Intérieur :

Cabine Economique 20KG/ Cabine Affaires 30KG /Cabine Première 40KG.

Sur le Réseau International:

FRANCE : Cabines Première et Affaires 40 KG/ Cabine Economique 30KG.

EUROPE / MAROC/ TUNISIE : Cabines Première et Affaires 40 KG/ Cabine Economique 30KG

MOYEN ORIENT : Cabines Première et Affaires sera à 40KG/ Cabine Economique 30KG.

(Pour les Emirats Arabes Unis et l’Egypte : Cabines Première Affaires 03 pièces de 23KG et Economique 02 pièces de 23KG)

CHINE : Cabines Affaires et Economique 02 pièces de 23 KG.

CANADA : Cabines Affaires et Economique 02 pièces de 23 KG.

AFRIQUE -Vol direct : Cabines Première et Affaires 40 KG/ Cabine Economique 40 KG (excepté Libye 30 KG)

AFRIQUE -Vol 6éme liberté entre L’Afrique et l ’International (via Alger) : Cabines Première, Affaires et Economique 2 pièces de 23 KG.

Nous vous recommandons de bien étiqueter vos bagages, de garder les talons remis à l’enregistrement et de ne prendre en aucun cas des bagages remis par une tierce personne.

Pour toute information complémentaire, nous vous recommandons de visiter notre site webwww.airalgerie.dz ou de contacter notre call center au 021 98 63 63


La blague de l'année 2016.

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La blague de l'année 2016 (Un grand merci à notre collègue,et néanmoins ami, Mehana).

Après avoir terminé sa coupe de cheveux, le fleuriste s'apprête à payer le coiffeur. Mais, celui refuse: c'est pour moi; cette semaine je rase gratis. Le lendemain, en ouvrant son salon, le coiffeur trouve devant sa boutique un joli bouquet de fleurs avec ce mot: Merci. Signé: le flueriste.

Le jour-même, le boulanger aussi n'a pas eu à payer la prestation du coiffeur qui lui dit: c'est pour moi; cette semaine je rase gratis. Le lendemain, le brave coiffeur trouve devant sa boutique un sac contenant six croissants bien chauds avec ce mot: Merci. Signé: le boulanger.

Ce jour-là, le député qui s'apprêtait à payer lui aussi se heurte au refus du coiffeur: C'est pour moi; cette semaine je rase gratis. Le lendemain, le coiffeur trouve devant son salon de coiffure.....20 députés qui faisiaent la queue !!!!!

Sans commentaires.

L'université: entre Démocratie et Gouvernance

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La conférence nationale consacrée à l'évaluation du sysytème LMD a abordé nombre de sujets, mais un, et c'est le plus important, manque à l'appel: la démocratisation de l'Université algérienne. L'élection des responsables d'université est un fait dans beaucoup de pays, y compris dans des pays dits en voie de développement à l'instar de ce petit pays, l'un des plus pauvre du monde: Haïti. C'est aussi une réalité en Tunisie depuis 2011. A ce titre, nous vous proposons une contribution parue sur un journal tunisien en ligne le 22 Août 2011.

 

L’université a eu le privilège d’ouvrir le bal des élections post-révolutionnaires. Pour la première fois, les directeurs des écoles et instituts universitaires ont étéélus par des conseils scientifiques, eux-mêmes élus. A l’instar de leurs collègues doyens de facultés qui l’ont été de tout temps, si on exclut la courte parenthèse d’Amor Chedli.

C’est un tournant symbolique important. Pour bon nombre d’universitaires, en effet, l’élection des conseils scientifiques, comme celle des doyens et directeurs d’établissements, et demain des présidents d’université constituent la clé de la bonne gouvernance de l’université. Il est vrai que la nomination des directeurs par l’Administration avait le plus souvent conduit à installer aux commandes des serviteurs zélés du pouvoir, dont la compétence n’était plus qu’une option.

Mais pour nécessaires qu’elles soient, les élections sont-elles la panacée ? Si c’était vrai, nos facultés seraient aujourd’hui dans un meilleur état qu’elles ne le sont. Les élections des doyens résultent en général de savants compromis entre collèges électoraux, dans lesquels la politique scientifique et les orientations stratégiques de l’institution n’ont que peu de choses à voir. Comment le pourraient-elles d’ailleurs, quand c’est l’autorité de tutelle qui détient les cordons de la bourse, le recrutement des étudiants comme des enseignants, qu’elle fixe les programmes de formation, détermine dans leurs moindres détails les orientations et les partenariats des institutions, tout en contrôlant la moindre de leurs ressources ? L’autonomie des institutions s’est réduite au fil du temps comme une peau de chagrin, le doyen élu – tout comme le directeur nommé– ne représentant plus qu’un maillon mineur de la chaîne de commandement. Alors, avant de parler élections, sans doute eût-il fallu parler des prérogatives des doyens et directeurs. Les élire, d’accord… mais pour faire quoi ?

Sur un autre plan, réduire la démocratie universitaire à ces élections serait une erreur. Car les établissements publics ne sont pas la propriété de leurs salariés, ils appartiennent à la nation tout entière. Ils sont créés et fonctionnent grâce aux impôts payés par les citoyens, qui devraient donc avoir un droit de regard sur l’usage qui en est fait. C’est le cas de Tunisair, de la STEG ou de l’ONAS. Cela doit aussi être le cas pour l’université et pour le système éducatif dans son ensemble. La nation consacre à celui-ci 7% de son PIB, soit l’équivalent de la richesse produite par le tourisme grâce aux 350 000 Tunisiens qui y travaillent. Comment admettre dès lors que quelques milliers d’enseignants soient seuls à décider de l’usage à faire de cet appareil essentiel pour le devenir de la nation ?

Nul ne contestera certes qu’ils soient les plus qualifiés pour nous dire comment faire. Mais ils ne sont en rien plus légitimes que n’importe quel autre citoyen pour décider de quoi faire. La démocratie, c’est en effet « un homme, une voix », et non la confiscation du pouvoir de décision par les experts.

Alors, comment concilier l’indispensable démocratie interne au sein des établissements et l’autonomie qui leur permet d’imaginer et de conduire des politiques originales répondant aux besoins du pays et des régions, avec leur non moins nécessaire contrôle par les citoyens et leurs représentants ? La clé est multiple. D’abord, des conseils d’établissements universitaires associant à leur gouvernance, à côté des représentants des personnels, des représentants de l’intérêt public – à savoir l’Etat – ainsi que ceux de ces principaux usagers des produits de l’université que sont les entreprises. Faute de quoi l’université ne pourra sortir du rôle de producteur de chômeurs diplômés qu’elle a fini par devenir ces dernières années. Ensuite, l’élection par ces conseils d’établissement – et non par les seuls enseignants – des directeurs et des doyens, des présidents d’université aussi, sur des appels à candidatures ouverts à tous ceux qui en ont les qualifications, qu’ils appartiennent à l’établissement ou non. Enfin, que l’élection de ces dirigeants se fasse sur la base de leur projet d’établissement, et non sur la simple connaissance qu’ont leurs collègues de leur parcours et de leur personnalité.

La démocratie, cela consiste en effet à choisir un projet et celui ou ceux qui le portent, et c’est beaucoup plus qu’un simple vote.

 

22 Août 2011

M.J.

 

Suppression de la publication ?

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Chère collègue, cher collègue
Des rumeurs de plus en plus insistantes et persistantes évoquent une éventuelle suppression de la publication scientifique exigée pour la soutenance de la thèse de doctorat.
Si cela devient une réalité, des centaines de doctorat seront soutenus dans les jours qui suivront cette décision. Et ça sera le coup de grâce qui sera portéà la recherche scientifique en Algérie.
Cette éventualité n'est pas du domaine de l'impossible, voyez ce qu'il en est pour les stages (plus de lettre d'accueil exigée) et des rencontres scientifiques (plus de lettre d'acceptation exigée) ! Il semble que ça soit le populisme qui prime sur la science et le véritable savoir.
Alors, si vous êtes contre cette éventualité, signez la pétition (en arabe) sur le site
 
On en est à quelques 1100 signatures. 
 
Halte à la médiocrité !!!

Colloque international en traductologie (Oran, Algérie)

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Le Laboratoire LDLD 022/2000 de l'Université d'Oran II Mohamed Ben Ahmed organise la 7ème Edition du Colloque International en Traductologie et TAL (TRADETAL2016) les 7 et 8 mai 2016à la Faculté des Langues Etrangères, Oran.

Election des directeurs de laboratoire

Publication et thèse de doctorat, suite.

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Il semble qu'il yait une reflexion (et même un projet !) concernant les conditions de soutenance de la thèse de doctorat. D'après des informations officieuses, cette soutenance ne serait plus assujettie à la seulle condition d'une publication dans une revue indexée. En effet, la publication internationale pourrait être remplacée par, par exemple, deux publications dans des revues locales ou un certain nombre de communications internationales, etc.

Si c'est le cas, bonjour les dégâts !

Promotion au grade de professeur.

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Chers collègues,

    Les résultats concernant la promotion au grade de professeur sont connus mais non encore officiellement communiqués. Nous n'avons pas plus d'informations mais nous pensons que la publication de la liste des heureux promus ne saurait tarder. Peut-être cette semaine...

Bonne chance à tous et à toutes.


L'Algérie absente du top 15 des universités de la région MENA

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Les universités algériennes absentes du top 100 des meilleures universités du monde, ne font même pas partie des meilleurs universités de la région MENA.

Dans un classement publié le 27 janvier par The Times Higher Education, l'institution britannique s'est penché sur le classement des meilleurs universités du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord.

Aucune université algérienne n'a pu se classer parmi les premières universités de la région. Parmi les meilleurs sont énumérées des universités saoudiennes, libanaises, qataries, émiraties, jordaniennes, égyptiennes et même marocains.

L'Algérie, comme la Tunisie d'ailleurs ne figure pas dans ce top 15. Un autre indice sur la dégradation de l’enseignement dispensé dans ces établissements.

Top 15 des universités de la région MENA

1 King Abdulaziz University (Arabie saoudite)

2 American University of Beirut (Liban)

3 King Fahd University of Petroleum & Minerals (Arabie saoudite)

4 King Saud University (Arabie saoudite)

5 United Arab Emirates University United Arab Emirates

6 Qatar University (Qatar)

7 Sultan Qaboos University (Oman)

8 American University of Sharjah (Emirats Arabes unies)

9 Jordan University of Science and Technology (Jordanie)

10 Suez Canal University (Egypte)

11 Alexandria University (Egypte)

12 Cairo University (Egypte)

13 The University of Jordan (Jordanie)

14 University of Marrakech Cadi Ayyad (Maroc)

15 Mohammed V University of Rabat (Maroc)

Débat: La gestion de la promotion au grade de professeur est-elle transparente ?

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Suite aux protestations et questionnements de certains collègues quant à la promotion au grade de professeur par la CUN, nous ouvrons ici un espace de débat.

A notre connaissance, les critères sont connus et leur notation aussi. Nous pouvons les envoyer aux collègues qui en feront la demande. Mais, il est légitime que nos collègues recalés se posent des questions. Nous espérons que leur non-promotion sera motivée.

Avant tout, nos sincères félicitations à nos collègues fraîchement promus.

Maintenant, en tout objectivité, procédons à une analyse froide de cette promotion. Pour écarter tout argument d'esprit aigri ou de candidat recalé et, donc, déçu, précisons que celui qui écrit ses mots répond très largement aux exigences de promotion sauf la durée (5 ans). 

Tout d'abord, sous d'autres cieux pour la promotion au grade de professeur, il est ouvert une liste d'aptitude. il ya beaucoup de candidats et très peu d'élus.

A notre humble avis, les conditions actuellement exigées ne reflètent nullement le travail que doit fournir une enseignant-chercheur pour obtenir le grade de Professeur, palier suprême.  L'encadrement de 02 masters est à la portée de n'importe quel doctorant. Une troisième position, en tant qu'auteur dans une publication ne peut nullement signifier une réelle implication  dans la réalisation de l'article scientifique. Certaines rencontres scientifiques internationales ont un très faible impact scientifique et tout intervenant est accepté. C'est le cas des rencontres scientifiques pluidisciplinaires et celles qui se déroulent en Tunisie, en Turquie ou même au Maroc. Certaines rencontres scientifiques dites internationales qui se déroulent en Algérie n'ont rien d'internationales si ce n'est la figuration de deux ou trois expatriés algériens dans le comité scientifique. Et ne parlons pas des revues dites nationales qui ne vous font plus appel lorsque vous reviewez négativement un semblant d'article ! 

Cela s'appelle un ivellemnt par le bas !

A notre humble avis, mériter le grade de professeur, au sens universel, c'est faire soutenir des doctorats (pas qu'un !) et avoir encore, au moins, cinq thèses de doctorat sous sa direction. La promotion au grade de Professeur n'est pas une finalité.

Mériter le grade de Professeur, au sens universel, c'est avoir une mutitude de publications dans des revues avec impact factor, publications réalisées, de préférence, avec ses doctorants.

La seule voie vers l'excellence doit suivre celle des normes internationales afin de sortir l'université du marasme dans lequel elle se trouve.

Je suis sûr que beaucoup de mes collègues sont d'accord avec ce que je viens d'évoquer. Et je comprends leurs réticences vu l'indigence des moyens, la clochardisation de l'environnement universitaire, le clientélisme, l'autoritarisme, la mauvaise gouvernance.....

Et je tiens encore à féliciter nos collègues pour leur promotion tout à fait méritée au vu des conditions exigées.

Cordialement.

Université de Bel Abbes: C'est très grave !

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Ce dimanche 21/02/2016, deux de nos collègues,  le président du conseil scientifique et le vice doyen chargé de la post-graduation (secrétaire de séances du CSF) de la faculté des sciences exactes de l'université de Sidi Bel Abbès ont été condamnés à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 300.000DA.

            Les faits reprochés sont l'existence de deux PV. Dans un premier PV (minutes) de réunion du CSF figure une liste de jurys de soutenance de doctorat dont les avis de soutenances sont sous réserve que les revues de publication de leurs articles soient non payantes (conformément à la réglementation). Dans un deuxième PV (final et signé), le dossier de l’un des candidats a eu un avis défavorable après vérifications et constatation que la revue où est édité l'article est payante. Cette pratique de donner des avis favorables sous réserves a été instituée, même par d'autres CSF, pour éviter les lenteurs bureaucratiques aux candidats et éviter l'attente des réunions du CSF qui sont réglementairement en nombre limité (4 sessions ordinaires par an).

Malgré que les délibérations du conseil scientifique soient collectives et que ses avis ne soient que consultatifs, les personnes de deux de nos collègues ont été mises en cause. Nous rappelons que la constitution de notre pays consacre expressément les libertés académiques et de recherche scientifique. Ainsi, la pénalisation du travail du Conseil scientifique tombe en contradiction flagrante avec la loi fondamentale de la république, source de toutes les lois et règlements.

La pénalisation de l’acte de gestion des activités pédagogiques et scientifiques pousserait à la désertion des enseignants de toutes les instances et responsabilités pédagogiques. Ceci entraînera à coup sûr la paralysie et le blocage de différentes structures de l'université et de cette dernière dans son ensemble.

Cet appel n’est pas dédié seulement à la solidarité avec nos collègues, tant qu’ils sont innocents, mais pour aussi tirer la sonnette d’alarme. Cette condamnation peut faire jurisprudence. Les pouvoirs publics, à leur tête notre tutelle, doivent poser des garde-fous pour protéger l’universitaire dans ses missions et tâches.  

Nous appelons à la mobilisation de tous les enseignants à se tenir prêts pour exiger la protection de l'enseignant et de sa dignité dans son travail.


-- 
Syndicat des Enseignants du Supérieur Solidaires (SESS), Section de Sidi Bel Abbès. 

-- 
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Pour vous désabonner de ce groupe et ne plus recevoir d'e-mails le concernant, envoyez un e-mail à l'adresseenseignants_universitaires_sba+unsubscribe@googlegroups.com.
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C'est très grave, suite: PV de l'AG des enseignants de l'université de SBA

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Syndicat des Enseignants du Supérieur Solidaires - SESS

Section de l'Université de Sidi Bel-Abes

 

ASSEMBLEE GENERALE DES ENSEIGNANTS DE L’UNIVERSITE DE SIDI BEL ABBES Du 08/03/2016
Ce jour, mardi 08 mars 2016, se sont réunis en assemblée générale les enseignants de l’université de Sidi Bel Abbès pour débattre des derniers évènements relatifs au Conseil Scientifique de la faculté des sciences exactes et des deux collègues condamnés par la justice.
L’assemblée générale constate le mutisme ; incompréhensible ; et l’absence totale de la tutelle (le MESRS) concernant cette affaire, malgré que l’administration locale rejette les allégations de falsification de PV et confirme que c’est le mode de travail de cette institution Scientifique, qu’est le Conseil Scientifique. L’AG rappelle que la Conférence générale de l’UNESCO de 1997 (art. 17&18) consacre les libertés académiques qui ne pourraient s’exercer qu’avec l’autonomie des établissements du Supérieur. Elle préconise aussi qu’il est du devoir des Etats membres de protéger l'autonomie des établissements d'enseignement supérieur contre toute menace, d'où qu'elle vienne (art. 19).
Cette intervention de la justice fera jurisprudence et ouvrira la boîte de Pandore sur toutes les formes et sortes de remises en cause de l’autonomie des entités pédagogiques et scientifiques. Qui prémunira demain les Comités Scientifiques, les Comités Pédagogiques, les Conseils de Discipline, la CUN, de l’épée de Damoclès qui est maintenant pendue au dessus de leurs « têtes » ?
L’assemblée générale refuse que nos deux collègues soient des boucs émissaires et considère que leur condamnation revient à la condamnation de l’entité morale «élue » qu’est le CSF, dont les décisions sont collégiales et son fonctionnement est sous l’autorité de l’administration.
L’administration, dans son ensemble, doit assumer ses responsabilités pour la protection de l’enseignant dans l’accomplissement de ses taches au sein de l’université.
Afin d’alerter l’opinion publique sur la gravité de la situation à l’université et pour que le ministère (le ministre) intervienne pour la prise en charge de ce problème et la mise en place de mécanismes pour la protection de l’enseignant dans ses fonctions, l’AG appelle :
1- A une journée de protestation, le lundi 14 mars 2016, avec rassemblement à partir de 8h30 au
niveau de la faculté des sciences exactes (Site I).
2- Au gel des activités et des délibérations des Comités et Conseils Scientifiques de l’université.
L’assemblée générale préconise, après les vacances de printemps, d’autres actions à préciser,
comme le gel des activités au sein d’autres organes pédagogiques délibérants.

17. Le plein exercice des libertés académiques et l'accomplissement des devoirs et responsabilités énoncés ci-après supposent
l'autonomie des établissements d'enseignement supérieur, c'est-à-dire la latitude nécessaire pour que ces établissements
puissent prendre des décisions efficaces concernant leurs activités académiques, leurs règles de fonctionnement,…………..
18. L'autonomie est l'expression institutionnelle des libertés académiques et une condition nécessaire pour que les enseignants et
les établissements de l'enseignement supérieur puissent s'acquitter des fonctions qui leur incombent.
19. Il est du devoir des Etats membres de protéger l'autonomie des établissements d'enseignement supérieur

Décès du Professeur Wahdi Abdelmadjid (Université d'Alger 2)

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Nous avons appris avec une grande tristesse le décès de notre collègue, le Professeur Wahdi Abdelmadjid, Chef de département de Psychologie de l'Université d'Alger 2. Il a été enterré hier, Mercredi 09 mars 2016. Rabi Yarahmou et toutes nos condoléances à sa famille et à tous ses proches.

Prof Psychologie

Débat: retraite à 65 ans ?

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Faut-il suivre les hospitalo-universitaires et mettre à la retraite les enseignants âgés de plus de 65 ans ? Notre réponse est non, pour des raisons multiples dont le capital expérience accumulé par cette catégorie d'enseignants.

Faut-il les décharger de toutes responsabités administrative et scientifique ? Notre réponse est oui. Par respect à nos aînés, nous nous abstiendrons de développer toutes les raisons qui vont dans ce sens. 

Le débat est ouvert.

Université de sidi Bel Abbes: Journée de protestation

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Suite à l'assemblée générale du 08 mars 2016, une journée de protestation est organisée le lundi 14 mars 2016, à l'université de Sidi Bel Abbès. 
En plus de l'arrêt des cours durant cette journée, les enseignants se sont rassemblés, durant la matinée, à la rentrée de la faculté des sciences exactes pour protester contre l'absence de réaction de la part de la tutelle concernant le problème du Conseil Scientifique de la faculté des Sciences Exactes et des deux collègues condamnés. 
A travers les quelques slogans du rassemblement, les enseignants exigent l'application de la loi pour la protection de l'enseignant dans l'exercice de ses fonctions, en particulier l'article 30 qui stipule:

L'Etat est tenu de protéger le fonctionnaire contre les menaces, outrages, injures, diffamations ou attaques de quelque nature que ce soit, dont il peut être l'objet, dans ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions et de réparer le préjudice qui en résulterait.

Afin d'arrêter d'autres actions, les enseignants se sont donné rendez-vous après les vaccances de printemps.

 

Syndicat des Enseignants du Supérieur Solidaires (SESS), Section de Sidi Bel Abbès. 

Enseignants sanctionnés : la justice déboute le centre universitaire de Tamanrasset.

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Les sanctions infligées à des enseignants harcelés et blâmés arbitrairement par la direction du centre universitaire de Tamanrasset vont être enfin levées.

Le tribunal administratif de la wilaya a débouté, le 15 mars, le centre universitaire dans l’affaire qui l’oppose aux 54 professeurs ayant pris part à un mouvement de grève pour exprimer leur ras-le-bol face à la dégradation de leurs conditions socioprofessionnelles. L’ex-directeur de cette structure, qui devrait agir dans le sens de la prise en charge des revendications formulées, n’a fait qu’enfoncer le clou en notifiant des avertissements à 30 enseignants et des blâmes à 22 autres, avant de procéder à des ponctions de 6 à 8 jours sur les salaires des grévistes. Ces derniers ont enfin eu gain de cause à travers l’annulation de toutes les décisions prises par l’administration du centre universitaire en vue «de souiller l’image et la réputation des chercheurs universitaires.

Le nouveau directeur du centre, installé en octobre 2015, a certainement hérité d’une situation catastrophique eu égard au climat délétère caractérisant les relations professionnelles dans cet établissement de l’enseignement supérieur, mais il se trouve obligé de rétablir tous les enseignants concernés dans leur droit», a-t-on exigé, en rappelant que la 5e chambre du Conseil d’Etat, haute instance judiciaire chargée de résoudre les conflits administratifs, a émis en janvier dernier la décision d’annuler l’arrêt du tribunal administratif de Tamanrasset qui avait, notons-le, reconnu l’illégalité de la grève, un arrêt sur la base duquel la direction du centre universitaire avait sanctionné les grévistes, alors contraints d’introduire un appel en cassation auprès du Conseil d’Etat. L’examen de leur action a débouché sur l’invalidation du premier jugement. La nouvelle direction est sommée de faire preuve de sagesse pour mieux gérer les conflits administratifs.

Ce n’est vraisemblablement pas le cas puisque le directeur du centre aurait, dans une déclaration faite à la même instance judiciaire, accusé les professeurs d’être des «perturbateurs» et de «vouloir ternir l’image du centre universitaire à travers leur action de protestation». Ce qui a suscité colère et indignation des enseignants, qui avaient cependant affiché leur bonne volonté de tourner la page. Cette histoire montre clairement les défaillances du ministère de tutelle et le malaise que vivent nos chercheurs et professeurs universitaires. Tout en affirmant l’exécution de l’arrêté du tribunal administratif, le secrétaire général du centre universitaire de Tamanrasset, Ramdane Chinoun, a déclaré que «les prélèvements effectués sur les revenus des grévistes ne seront pas remboursés». Il convient de rappeler qu’après le rassemblement tenu le 15 juin 2015 devant le centre universitaire, huit professeurs ont été violemment pris à partie par les agents de sécurité de l’établissement.

Ravah Ighil

AG Association Algérienne des Sciences en Expérimentation Animale (AASEA)

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Nous avons le plaisir de vous inviter à l’assemblée générale ordinaire de l’Association Algérienne des Sciences en Expérimentation Animale (AASEA) qui se tiendra le  Jeudi  07 Avril 2016 à 10h à la salle Avicenne, Faculté des sciences biologiques (USTHB), Alger.
 
L’ordre du jour sera le suivant :

 

-        Bilan moral et financier (année 2015)
-        Programme des activités prévues en 2016
-        Adoption du règlement intérieur
-        Adhésion
-        Divers
 
Nous attirons votre attention sur l’importance de cette assemblée ordinaire et espérons avoir le plaisir de vous rencontrer à cette occasion.
 
 Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, l’assurance de nos salutations les meilleures.
 
PS:ci-joint l’annonce de l’AG et la demande d’adhésion
 
Cordialement
Pr. KHAMMAR Farida

Professeur/Directeur de Recherches
Unité de Recherches Zones Arides
Faculté des Sciences Biologiques
Université Houari Boumediene Alger
BP 44 Alger-Gare 16000 DZ Algérie
BP 32 ElAlia 16111 DZ
Mobile 213 (0)661 504 800
Tél 213 (0)21 24 79 13/24 72 17

Soutien aux enseignants contractuels

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                                                                                                        USTHB,   le 07 Avril   2016

 

Solidarité avec la lutte des Enseignantes et Enseignants contractuels

APPEL aux ENSEIGNANTES et ENSEIGNANTS de L’USTHB

 

Nous, signataires, appelons l’ensemble des enseignantes et enseignants de l’USTHB à exprimer leur solidarité agissante par une présence et apporter leur soutien par toute forme   appropriée aux enseignantes et enseignants contractuels dont une partie observe une grève de la faim.

 La marche des enseignants(es) contractuels(les) initiées à partir de Béjaia, engrangeant une sympathie grandissante et un soutien croissant tout au long de son parcours, a été bloquée à la sortie de la ville de Boudouaou.

 

Les enseignants(es) contractuels(les) ont installé leur campement à l’endroit même ou la marche fut bloquée (le campement est dans le prolongement de la faculté de droit située à Boudouaou et affiliée à l’université de Boumerdès).

 Par notre présence à côté  des enseignants(es) contractuels(les) qui se battent pour leur titularisation dans le métier qu’ils ont choisi pour la plupart et assumé dans des conditions les plus déplorables et dans les endroits les plus délaissés, nous pensons qu’aucune réforme ne peut réussir sans l’intégration et l’adhésion de celles  et ceux engagés pour une école publique, performante et citoyenne.

 La présence massive de nos collègues de l’USTHB exprimera notre soutien à la revendication légitime des enseignants(es) contractuels(les).

Signataires :

-          AIT IHADDADENE Farid, Enseignant-chercheur, USTHB, Alger

-          CHERBAL Farid, Enseignant-chercheur, USTHB, Alger

-          EL BAHI Mostefa, Enseignant-chercheur, USTHB, Alger   

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Chère collègue, cher collègue,

Dans les cadres conjoints de Youm El Ilm et de la remise, par M. Gerard de Belair (MCA à l‘université d’Annaba), de son herbier personnel, l’Ecole Nationale Supérieure des Sciences Agronomiques (El Harrach, Alger) organise le dimanche 17 et lundi 18 Avril des journées scientifiques ayant pour thème la botanique.

Vous y êtes cordialement invit(é)es.

Bonne journée

Logement - Action USTHB

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Réunion des enseignants de l’USTHB pour débattre sur le problème du logement

Nous demandons à tous les enseignants concernés par le problème du logement de se rassembler en face du rectorat afin de tracer la démarche à suivre  pour que  la tutelle prenne en charge nos préoccupations :

-        Le choix du site d’attribution de logements AADL et  LPP

-        Demande d’un crédit sans intérêt

-         Logement de fonction du programme présidentiel non attribuéà ce jour

La date est fixée le Mardi 20 Mercredi 2016 à 11H en face du rectorat. Une lettre adressée au ministre de MESRS jointe d’une liste nominative des enseignants concernés  sera transmise à Mr le recteur.

Soyons solidaires pour arracher le strict minimum de nos droits.

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